mercredi, mai 23, 2007

On n'est jamais satisfait du portrait d'une personne que l'on connaît bien

Certes, je suis loin de bien connaître notre nouveau président, ne l'ayant guère rencontré que deux fois, tirant essentiellement ce que je sais de lui, de ses discours, écrits, d'écrits sur lui, ou de révélations de ceux qui l'ont connu ; le mot de Goethe ne me semble pas moins vrai, je ne suis certes pas satisfait du portrait officiel de Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa.


Loin de moi l'idée de blâmer le photographe ; le modèle et son entourage sont seuls responsables de la pause, l'éclairage, lui, me semble bien fait. Les commentaires ont déj à fusé sur la veste trop grande, les drapeaux tout autant ; je n'évoquerai que la position, raide, le bras gauche, inerte. N'eût-il pas pu croiser les bras, prendre un livre, tel Mitterrand ?
Il est étonnant que le Président de la République, si habile dès lors qu'il s'agit d'user de symbloes et d'évoquer l'âme de la France ait manqué à ce point l'effet de son portrait. Puisse-t-il ne pas manquer son mandat.

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2 Comments:

Blogger Arnaud said...

oui et il aurait pu poser en short et lunettes de soleil. Aussi on ne voit pas les gardes du corps sur la photo, je suis déçu.

19:38  
Anonymous Anonyme said...

Aurais-tu la référence de la citation de Goethe? J'aimerais l'utiliser dans mon travail de maturité mais je n'ai pas trouvé d'où elle sortait.. Merci :) Lydie-Joëlle

22:46  

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